J'oublierai ton nom
        (duo avec Carmel)
        1986 (J. J. Goldman - M. Jones / J. J. Goldman)


        De semaines inutiles en futiles dimanches,
        De secondes immobiles aux aiguilles qui penchent,
        J'oublierai ton nom.

        De quatre nouveaux murs dans un autre quartier,
        De panneaux de peinture en meubles à installer,
        J'oublierai ton nom.

        De la piste suante à la dernière danse,
        De quelques nuits de feu aux matinées de cendres,
        De cette agitation dénuée de tout sens,
        Du fond de ma raison jusqu'à mon inconscience,

        De la main d'un ami au baiser d'une bouche,
        Tous ceux qui sauront lire que le mal a fait mouche,
        J'oublierai ton nom.

        J'oublierai ton nom
        De mille facons
        Et cette certitude
        Me fait plus mal encore.
        J'aimais cette blessure.
        C'etait toi, encore.

        I know it's been tough.
        I've hurt you enough
        But you'll never see
        That I must be free.
        Forget my name.

        You'll find someone, somewhere,
        All your troubles to share.
        She'll wipe out the past
        And feel at last.
        Forget my name.

        All the good and the bad times
        We've ever had
        Will seem so far away.
        You'll wonder why.
        You were sad.

        There's hundreds of ways
        To kill away the time.
        That's how you are made.
        You know you'll never be mine.


        De la main d'un ami
        Au baiser d'une bouche,
        Tous ceux qui sauront lire
        Que le mal a fait mouche,

        J'oublierai ton nom
        De mille facons
        Et cette certitude
        Me fait plus mal encore.
        J'aimais cette blessure.
        C'était toi, encore.

        J'oublierai ton nom
        De mille facons,
        Pour les mêmes raisons qui m'ont fait t'aimer
        Parce qu'il fallait bien vivre avant d'oublier.

        J'oublierai ton nom
        De mille facons
        Et cette certitude
        M'est la pire des morts.
        J'aimais cette blessure.
        C'était toi, encore.



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